Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, impossible de faire l’impasse sur le fameux 14 février.
A moins d’être sur une île déserte, loin de toute espèce humaine, tout nous rappelle, au mieux, que nous avons épousé le/la Valentin(e) de nos rêves, au pire, que nous nous sommes trompés et au pire du pire, que nous n’en n’avons même pas.
Et pourtant,…
Et pourtant, le/la meilleur(e) Valentin(e), celui ou celle qui provoquera des papillons dans le ventre est si près que tu ne la/le vois pas.
Des preuves…
N’en déplaise à ta deuxième moitié, si tu en as une, et à tous les autres qui se demandent bien de quel chapeau va sortir ton ou ta bien aimé(e), le seul être capable de te faire avancer, courir, chanter, danser, sauter de joie, rêver, murmurer, respirer, aimer, goûter, le seul capable de te parler, t’aimer, te chouchouter, te protéger, n’est autre que… ton propre corps et toutes les petites cellules qui le composent *.
* Photo de 9GAC
Traduction libre : Chaque fois que tu te sens triste, souviens-toi des milliards de cellules dans ton corps dont la seule préoccupation est toi.
En ce 14 février, rappelle-toi donc que tu es ton ou ta propre Valentin(e) avant d’être celui ou celle de quelqu’un d’autre.
En ce 14 février, n’oublie pas de dire merci à ce corps qui te prévient sans cesse des dangers de la vie, te supporte sans jugement, t’accepte sans contrepartie, peut t’emmener jusqu’au bout de tes rêves et surtout t’aime jusqu’à l’infini, aller et retour.
En ce 14 février, fais donc des jaloux. Aime-toi, aime ton corps et prends soin de lui comme il prend soin de toi.
Bonne Saint-Valentin
Salomé